Un Samuel Schoppig colporteur est déclaré en faillite à Montbrison (Loire) le 7 juillet 1900. Il est déclaré habiter aux Barques communes de Saint Rambert (Loire) (Archives commerciales de la France sur Gallica http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55911878.image.r=SCHOPPIG.f10.hl)
Le 10 janvier 1902, ce même Samuel Schoppig est séparé de bien avec sa femme née Georges. Il habite à la Tranchardière commune de Saint Just sur Loire (Archives commerciales de la France sur Gallica http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5579292v.image.r=SCHOPPIG.f12.hl)
Peu probable qu'il s'agisse de I4272.